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Immobilier : Brutal ralentissement selon la FNAIM
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Changement de ton à la FNAIM : Contrairement à ses analyses précédentes dans lesquelles elle envisageait un atterrissage en douceur de l’immobilier, la Fédération Nationale des Agents Immobilier se montre désormais alarmiste.
Elle décrit maintenant «un marché immobilier dont la tendance baissière est aujourd'hui avérée (-1.5% de baisse des prix au mois d'août). La brutalité du ralentissement de l'activité, observée tant sur le marché du neuf que sur celui de l'ancien, a de quoi surprendre les observateurs les plus avertis», estime la FNAIM dans un communiqué.
Tendance baissière
On peut trouver étonnant que la FNAIM qui a toujours eu plutôt un discours rassurant tire aujourd’hui la sonnette d’alarme. Selon Henry Buzy-Cazaux, le nouveau délégué général de la FNAIM, a situation s’est durcie depuis 3 mois : «Une part de plus en plus importante de nos adhérents nous font part d'une situation très difficile depuis le mois de juin, Cette évolution a été très rapide et certains n'ont plus fait de transactions depuis plusieurs mois.»
Un accès au crédit de plus en plus difficile
Sur le terrain, il est probable que ces tensions persistent et se renforcent, non que les vendeurs soient trop « gourmands » mais surtout et mécaniquement parce que suite à la crise financière sans précédent que nous traversons, l’accès au crédit va se durcir. Comme le signalait hier la ministre de l’économie Christine Lagarde, la principale conséquence au niveau français (et européen) sera un renchérissement du crédit. Seuls les ménages les plus solvables avec les meilleurs dossiers pourront se voir délivrer l’accès au crédit.
Des taux qui grimpent inexorablement
Dans le même temps et toujours par défaut de liquidité, il y a fort à parier que les taux vont inexorablement grimper. On le constate le seul ajustement possible ne pourra se faire que par les prix.
Dans ces circonstances, on comprend que les acheteurs se feront de moins en moins nombreux au fil des mois à venir. Les vendeurs seraient avisés de revoir leurs prétentions à la baisse.
Elle décrit maintenant «un marché immobilier dont la tendance baissière est aujourd'hui avérée (-1.5% de baisse des prix au mois d'août). La brutalité du ralentissement de l'activité, observée tant sur le marché du neuf que sur celui de l'ancien, a de quoi surprendre les observateurs les plus avertis», estime la FNAIM dans un communiqué.
Tendance baissière
On peut trouver étonnant que la FNAIM qui a toujours eu plutôt un discours rassurant tire aujourd’hui la sonnette d’alarme. Selon Henry Buzy-Cazaux, le nouveau délégué général de la FNAIM, a situation s’est durcie depuis 3 mois : «Une part de plus en plus importante de nos adhérents nous font part d'une situation très difficile depuis le mois de juin, Cette évolution a été très rapide et certains n'ont plus fait de transactions depuis plusieurs mois.»
Un accès au crédit de plus en plus difficile
Sur le terrain, il est probable que ces tensions persistent et se renforcent, non que les vendeurs soient trop « gourmands » mais surtout et mécaniquement parce que suite à la crise financière sans précédent que nous traversons, l’accès au crédit va se durcir. Comme le signalait hier la ministre de l’économie Christine Lagarde, la principale conséquence au niveau français (et européen) sera un renchérissement du crédit. Seuls les ménages les plus solvables avec les meilleurs dossiers pourront se voir délivrer l’accès au crédit.
Des taux qui grimpent inexorablement
Dans le même temps et toujours par défaut de liquidité, il y a fort à parier que les taux vont inexorablement grimper. On le constate le seul ajustement possible ne pourra se faire que par les prix.
Dans ces circonstances, on comprend que les acheteurs se feront de moins en moins nombreux au fil des mois à venir. Les vendeurs seraient avisés de revoir leurs prétentions à la baisse.
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